La séquence terroriste a pris fin avec la mort du suspect principal, transpercé de 300 balles par les policiers du RAID.
Raté, donc.
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Fortes paroles proférées en toute décomplexion en 2007 en france par la ministre de l'économie Mme Christine Lagarde dans son mémorable discours à l'assemblée nationale, discours fondateur de la nouvelle Société Idéale Réactionnaire.
La séquence terroriste a pris fin avec la mort du suspect principal, transpercé de 300 balles par les policiers du RAID.
Pour l'instant:
Après le succès ce dimanche de la marche pour la VI° République organisée par le Front de Gauche, la question du vote utile à gauche apparaît de plus en plus problématique.
Ou pas.
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À la différence de ce qu'il se passait en 2006-2007, la parole du candidat UMP est cette année beaucoup mieux analysée.
D'abord un joli texte à lire en entier dans le Libération des écrivains aujourd'hui :
Qui ? - Ah ! Oui, lui ! Le bonimenteur qui se fait fort de vous faire acheter chaque année son épluche-légumes multi-usage nettoyeur, trancheur de vérité. Certes, c’est toujours le même carcheur, mais comme il sait enthousiasmer l’acheteur ! Le recordman du bagout. Juste le temps de changer de chemise, et voilà pour le public un multihistrion : selon l’heure Matamore, Rodomont, Polichinelle et Pantalon, dix pour le prix de Toutenun. Celui qui vous fait avaler l’épluchure et le couteau.
Hélène Cixous
The Wall Street Journal : Nicolas Le Pen
Even by local standards, the French President's recent burst of xenophobia is pretty cynical.
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Sondage IFOP au lendemain de la prestation haute en couleur du candidat sortant :
Pour comprendre la parole présidentielle, mesurer son poids et apprécier sa cohérence, rapellons-nous le souhait qu'il émit en Guyanne s'il perdait les élections:
J’ai un métier, je suis avocat. J’ai 56 ans, je fais de la politique depuis 35 ans. Vous n’entendrez plus parler de moi. Je changerai complètement de vie. Je peux voyager, je peux prendre du bon temps, commencer sa semaine un mardi et la finir un jeudi…
Les OFFs de Sarko en Guyane, fallait pas nous inviter l’intégrale. | HuffingPouf.fr
Dans une quarantaine de jours, la parenthèse historico-clownesque du quinquennat Sarkozy en France devrait se terminer.